Voilà déjà 10 jours que je suis à Tana et le soleil est toujours aussi présent. Ces quelques jours m’ont permis de prendre mes marques et de l’assurance lors de mes déplacements en ville. Je me ballade seule la plupart du temps à pieds, en taxi be ou en taxi et pour l’instant je n’ai rencontré aucun problème. Bien sûr dans la zone des 67ha (quartier pauvre de tana où se trouve le centre Ankasina), c’est un peu différent. Je suis très souvent interpellée mais jamais aucune agressivité et avec le sourire tout se passe toujours très bien.
Le personnel du centre d’Ankasina est adorable et toujours prêt à rendre service. Le docteur Lala, médecin du dispensaire s’est chargé de l’achat des médicaments chez le grossiste. Des antibiotiques pour la plupart mais également des vitamines, des anti-douleurs…Les consultations au dispensaire sont quasi permanentes et de nombreux patients se présentent chaque jour. Des mères avec des enfants en bas âge pour la plupart. Les consultations sont gratuites mais le dispensaire tient à faire payer d’une manière symbolique les médicaments qui sont par ailleurs hors de prix ici. On demande une participation moyenne de 200 Ar (8 cts d’Euros !) aux familles pour les médicaments. Cela semble dérisoire mais les revenus mensuels sont tellement faibles que certaines personnes n’osent même pas venir consulter car elles ne peuvent pas payer.L’assistante sociale du centre effectue donc des visites à domicile pour encourager les malades à se présenter au
dispensaire et se faire soigner, gratuitement bien sûr.
Le personnel du centre d’Ankasina est adorable et toujours prêt à rendre service. Le docteur Lala, médecin du dispensaire s’est chargé de l’achat des médicaments chez le grossiste. Des antibiotiques pour la plupart mais également des vitamines, des anti-douleurs…Les consultations au dispensaire sont quasi permanentes et de nombreux patients se présentent chaque jour. Des mères avec des enfants en bas âge pour la plupart. Les consultations sont gratuites mais le dispensaire tient à faire payer d’une manière symbolique les médicaments qui sont par ailleurs hors de prix ici. On demande une participation moyenne de 200 Ar (8 cts d’Euros !) aux familles pour les médicaments. Cela semble dérisoire mais les revenus mensuels sont tellement faibles que certaines personnes n’osent même pas venir consulter car elles ne peuvent pas payer.L’assistante sociale du centre effectue donc des visites à domicile pour encourager les malades à se présenter au
dispensaire et se faire soigner, gratuitement bien sûr.L'équipe médical avec les médicaments achetés grâce aux dons!!!
A gauche, le docteur Lala
Ma petite Juju en éspérant que tout ce passe bien car les informations en ce moment sont basés sur ce qui ce passe chez toi à Mada.N'ayant plus de nouvelles comme on dit "pas de nouvelles, bonne nouvelles".
RépondreSupprimerBon courage à toi et à très bientôt.Bisous